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En attendant Godot

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Le SMS prend aujourd’hui un ascendant significatif en termes d’utilisation. Un chiffre permet de réaliser l’engouement pour ce type de minimessages : pendant le premier jour de l’Aïd El Adha 1,2 million de SMS ont été envoyés pour souhaiter une bonne fête, selon des informations recueillies auprès de l’opérateur public Mobilis.


Le deuxième jour, il a été enregistré 800 000 envois. En tout, Mobilis a enregistré près de 2 millions de SMS. Rappelons que pour la seule nuit du réveillon, le réseau Nedjma a comptabilisé 500 000 SMS et 20 000 MMS. Malgré un début d’utilisation jugé timide, le SMS est devenu un véritable phénomène de société. Les raisons sont multiples : donner une info stockée, dire des choses intimes qui passent mieux qu’au téléphone, ne pas déranger les correspondants et limiter la facture. Un SMS est un message de 160 caractères maximum. Son trajet se décompose en deux temps : il va tout d’abord être transmis à l’opérateur qui va le centraliser avant de le réacheminer au destinataire du message, le tout s’effectuant en quelques secondes (comme un e-mail). Le message parvient à destination même lorsqu’un portable est en veille ou ne capte pas dans la zone dans laquelle il se situe. Le coût d’envoi reste inférieur à la moindre conversation téléphonique. Par ailleurs, Mobilis a enrichi son site Internet d’une galerie photos où l’on trouve des photos de la conférence de presse du lancement de la phase expérimentale de l’UMTS et la soirée du millionième abonné. L’opérateur veut jouer à fond la carte de l’information en consacrant un espace presse où l’on trouve des communiqués de presse, des dossiers, des alertes mail/SMS et Mobilis actualités.

Benelkadi K.

J'aurais bien aimé rester un peu plus ans ce cyber du Vieux-Kouba pour vous raconter mon premier jour à Alger. Mais ça ne sera pas pour aujourd'hui, l'état délabré du clavier ainsi que le "grellou" qui vient de me saluer m'incitent plutot à aller voir ailleurs si j'y suis.

Le rêve brisé des algériens par Hocine Aït-Ahmed.

Cet article établit un bilan moral, cinquante ans après le déclenchement de la guerre de libération, sur la situation des algériens.

En attendant Godot, je m'offre une bonne "Tchebika" (1) virtuelle dans la Mare Nostrum, coté DZ. Au moins, comme ça je ne risque pas d'attrapper les maldies des "zigous" (2). : "Almoriskaaaaa!" (3)

(1) Plongeon
(2) Les égouts
(3) Cri des Algériens qui plongent, étymologie inconnue.

Ah oui, j'oubliais l'image est tiréee en direct live de ce site DZ

que j'ai trouvé en cherchant des articles sur le chanteur Baaziz, un "Renaud" algérien ?

Une proposition de loi voudrait que l'on reconnaisse formellement l'oeuvre positive de la colonisation. Soit, Albert Camus et Germaine Tillion méritent sans doute quelque hommage, avec eux la foule d'inconnus qui était sincèrment attachés à la terre d'Algérie. Mais que dire d'un Jean-Marie Le Pen, que dire des lois destinées aux "indigènes", aux "musulmans" dans un pays qui se disait laïc ? (cf. Les Identités Meurtrières d'A. Maalouf.), ce ne sont pas des cicatrices à guérir plutôt qu'à remettre à nu ?

Nous avons eu le droit, Samedi dernier, à un magnifique concert de Toufik Bestandji à l'auditorium de Lyon. Magnifique n'est pas le bon mot, il y avait qqch comme de la catharsis, une libération, du médicament concentré pour un peuplé qui souvent vu sa culture piétinée. C'était un de ces moments de bonheur qui vous laisse un point de repère solide dans le temps : "Ah oui, juin 2003, c'était la nuit algérienne à Lyon.

Dès les premières heures qui ont suivi le tremblement de terre d'Alger, l'ambassade a ouvert un compte unique "solidarité Algérie" et les radios communautaires se sont empressées de relayer un seul et même message : "ne donnez à personne d'autre qu'au compte officiel".

Depuis plusieurs années, je suis une ONG italienne, EMERGENCY, spécialisée dans la chirurgie pour les victimes de guerre. Elles est présente en Afghanistan depuis plus de 20 ans, elle a deux hôpitaux au nord de l’Iraq et bientôt un troisième à Karbala, elle en a également en Sierra Leone, au Cambodge, et ailleurs. Elle est présente en Algérie depuis quelques mois, et est sur le point d’ouvrir un centre orthopédique à Médéa. Toutes les semaines, je reçois son journal « Allistante » par poste électronique, et j’ai pensé que l’article de cette semaine pourrait être intéressant. Voici ma traduction :

Pas d'année de l'Algérie pour le massacre du 8 mai 45 à Sétif et Guelma.